William T. Vollmann
Actes Sud – traduit de l’américain et illustré par l’auteur
« Ecartant ses jambes, elle me montra sa fente, qui était aussi profonde et humide que tout Paris par une nuit pluvieuse. »
Le texte est présenté comme un poème, c’est surtout un récit en prose qui suinte le désir. Dans un autre style, mais si proche, Marie-Sissi Labrèche a écrit Mon Montréal à moi dans son recueil « Amour et autres Violences »
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